ÉDITÉ PAR LA COMMISSION D'ISRAËL
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Les Juifs sous le socialisme
dans les années 1930 en France
Le
champ du « Socialisme » est tellement large, depuis « le
Travaillisme de l'aile droite », avec ses projets sociaux
utopiques basés sur la réforme plutôt que sur la révolution, jusqu'à
ces régions mal définies mais hautement révolutionnaires où
l'Anarcho-syndicalisme poursuit sa théorie politique, que n'en
émerge pas de vue commune du Sionisme.
Il
est néanmoins vrai que, plus la situation se situe à « gauche
», plus est grand le degré d'Antisémitisme qui est manifesté. Les
mouvements socialistes qui représentent des intérêts pluralistes
accordent un certain degré de refuge aux cultures étrangères,
permettant leur survie. En progressant vers la « gauche »
politique, cependant, ils laissent place à des régimes totalitaires
où « L'État » a la position presque déifiée d'un pouvoir
extérieur, arbitraire qui domine la société.
A ce
pouvoir, les droits des groupes et des individus doivent être
soumis. Plus encore à « gauche » est tapi l'Anarcho-syndicalisme et
le groupe sans état et sans dirigeant. De tels groupes semblables à
des bandes sont aujourd'hui importants et vociférant dans les
manifestations antisémites.
Pour
l'extrême Gauche politique, l'influence mondiale des Juifs, en
particulier leur prédominance dans la sphère du Capitalisme, est une
menace pour les espoirs de changement révolutionnaire. Le Sionisme
mondial est perçu comme une organisation des ressources de la
Diaspora, derrière l'État d'Israël, pour perpétuer le système
capitaliste et y renforcer la position des Juifs.
De
plus, les enseignements du Sionisme, proclamant que les Juifs sont
un peuple « particulier
», et que le Monde, pour sa bénédiction, sera assujetti à un
descendant de l'ancien roi hébreu David, gouvernant depuis
Jérusalem, sont en violation des principes fondamentaux des
convictions du Socialisme extrémistes.
De
là, la stridence du slogan qu'ils ont emprunté, « Le Sionisme est
du Racisme », et leur soutien bruyant aux exigences territoriale
à des Arabes Palestiniens pour posséder au moins une partie de la «
Terre Promise
».
ACCUSES DE RACISME
Les Juifs sous le socialisme
aujourd'hui 3 janvier 2015 en France
Les
desseins du Sionisme ont été l'objet de beaucoup de fausse
présentation politique. Le « Racisme » répugne aux nombreuses
nationalités réunies au sein des Nations Unies, et en cette auguste
assemblée, personne ne peut ouvertement reprocher au Juif d'avoir
une patrie.
Aussi, ces nations et ces individus qui éprouvent de la haine à
l'encontre des Juifs les attaquent en tant que Sionistes. « Le
Sionisme est du Racisme », disent-ils pour se justifier, et les
Nations-Unies sont utilisées comme une plate-forme de leur attaque.
Des
voix stridentes se lèvent contre Israël, à mesure que les
partenaires dissemblables que sont le Marxisme et l'Islam partagent
le même lit par leur mauvaise compréhension commune, et par là, leur
peur et leur haine du Sionisme.
Les
alliés potentiels d'Israël prennent peur et l'attaquent en paroles,
ou gardent le silence lorsqu'ils devraient prendre sa défense. De
tous côtés, il est fait état de pressions, directes ou indirectes,
de la part des Arabes sur les nations qui ont soif de pétrole, pour
les détourner des Juifs. Cela se manifeste dans les réunions
internationales, les décisions commerciales, les questions
financières et dans les colonnes de la Presse où la présentation
injuste et déformée des positions, des agissements et des mobiles
d'Israël n'est pas autrement explicable.
Quel
que fût l'endroit où les juifs s'établirent au cours de leur
Dispersion, tôt ou tard ils ont été persécutés. L'insistance des
Juifs (à l'exception des assimilationnistes) sur la pratique de leur
culture propre et unique, le Judaïsme, à l'intérieur du cadre social
et religieux du groupe d'accueil, a contribué à les isoler, à les
exposer à la suspicion, l'envie et la calomnie, ce qui conduisait à
la persécution.
Chaque pays ou chaque ville d'accueil a « découvert » sa propre
justification particulière au harcèlement, à l'expropriation, à
l'expatriation et même au massacre de sa population juive, Si le
nombre et la diversité des ces « justifications variées » sont
importants, il en est partout de même de la similitude du résultat
final au point que l'on doit soupçonner l'existence d'une source
commune de la haine du Juif. Et nous trouvons que tel est le cas
lorsqu'il est perçu du point de vue de la Bible.
La
Bible enseigne que la réhabilitation du Juif dans son propre pays
annonce la bénédiction de toutes les nations (actuellement sous la
malédiction, Gen. 3 : 8-19 ; Es. 24, spécialement le verset 6), en
accomplissement de la promesse de D.ieu en Gen. 22 : 18. Nous
soutenons aussi que la bénédiction des nations annonce la fin du «
règne de terreur » de Satan sur la Terre.
«
Ne crains point dit l'Éternel,
et ne t'effraye pas, Israël ! car voici, je te sauve d'un [pays]
lointain, et ta semence, du pays de leur captivité, et Jacob
reviendra, et sera tranquille et en repos, et il n'y aura personne
qui l'effraye » — Jér. 30 :
10.
«
Et toi, Israël, mon serviteur,
Jacob, que j’ai choisi... ne crains point, car je suis avec toi...
Je te fortifierai... t'aiderai... te soutiendrai
» — Es. 41 : 8-10.
Pleins feux sur le sionisme
RAPPORT SUR L’ANTISEMITISME EN FRANCE
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Jacques Obojtek
pour la Commission
d'Israël
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