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ÉDITÉ PAR LA COMMISSION D'ISRAËL
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CENTENAIRE DE LA DECLARATION BALFOUR
Bulletin 1 / 4
Ps. 102 : 13-16
— « Tu
te lèveras, tu auras compassion de Sion ; car c’est le temps d’user
de grâce envers elle, car le temps assigné est venu.
Car tes serviteurs prennent
plaisir à ses pierres, et ont compassion de sa poussière.
Alors les nations craindront le
nom de l’Éternel, et tous les rois de la terre, ta gloire.
Quand l’Éternel bâtira Sion, il
paraîtra dans sa gloire ».
Préambule
Un
siècle s’est écoulé depuis la déclaration Balfour le 2 novembre
1917. Israël a aujourd’hui une terre, un Etat, un peuple
—
qui
au 1er
janvier 2016 comptait 8.462.000 âmes.
Hier il
n’y avait pas de nation pour Israël, aujourd’hui ses terres sont
disputées, demain Israël bénira les nations.
Pour
célébrer ce centenaire, nous
publions quatre bulletins,
rappelant chronologiquement les prophéties accomplies, en cours
d’accomplissement et les merveilleuses promesses à venir concernant
le peuple Juif en particulier et le monde en général. La
grandeur de D.ieu, sa main forte, et son bras étendu,
supervisent les affaires d’Israël qui n’est
pas un peuple comme les autres peuples mais un
«
peuple choisi », peu importe ce que nous
pensons et disons les uns les autres. Ces sujets étant d’une
importance primordiale, nous souhaiterions connaître vos avis,
commentaires, et ou questions. Nous ne désirons rien imposer à
personne, et c’est avec un profond respect pour tous nos lecteurs et
amis, que nous écrivons ces lignes.
Vos questions,
suggestions ou informations sont les bienvenues
:
redaction@israelvivra.com
Les ouvrages qui ont servi à cette
analyse :
http://www.israelvivra.com/publications.htm
Rédaction :
Jacques Obojtek
BALFOUR ET LLOYD GEORGE
Arthur James Balfour, le Secrétaire
aux Affaires étrangères dans le gouvernement de Lloyd George,
transmit la gratitude de la nation.
«
Que puis-je faire pour vous ?
» demanda Balfour.
«
Rien pour moi
», répondit Weizmann, «
mais pour mon peuple, un foyer en Palestine
».
Balfour connaissait Weizmann depuis
plusieurs années, et était compatissant avec le peuple juif. Des
années plus tôt, alors qu'il était lui-même Premier ministre, il
décrivait le traitement international des Juifs comme «
une honte pour la chrétienté
».
A
une certaine occasion, à l'Hôtel de la Reine à Manchester, Balfour
et Weizmann discutaient sur la question sioniste. Balfour rappela
l'offre antérieure faite par l'Angleterre de l'Ouganda comme patrie
possible. Weizmann, en tant que porte-parole du groupe parmi les
Sionistes partisans de la Palestine ou rien, déclina l'offre. «
Si je devais vous offrir Paris au lieu de Londres
» demanda Weizmann à Balfour «
le prendriez-vous ?
»
« Mais, M. Weizmann, nous avons
Londres
», répondit Balfour.
La réponse fusa : «
Nous avions Jérusalem quand Londres n'était qu'un marécage
».
Il est intéressant de remarquer que
le Premier ministre, Lloyd George, Gallois et pratiquant,
familiarisé avec la prophétie biblique, était également enclin à
considérer favorablement la cause sioniste.
Jacques Obojtek
Pour la Commission
d'Israël
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