Chers amis Juifs et israéliens,

Alors que nous terminons cette année pour le moins pénible à bien des égars, nous vous adressons ce message de soutien et de réconfort : « Consolez, consolez mon peuple, dit votre D.ieu… » — Esaïe 40 : 1-2. Le moment promis depuis longtemps est proche, au-delà des soupirs et des cris, le matin point le jour glorieux dans lequel le Soleil de Justice chassera du monde toutes les ombres de la mort.

C’est dans cet esprit et le cœur empli d'espérance que mes amis de la « Commission d’Israël » se joignent à moi pour vous assurer de leurs encouragements dans ces moments difficiles que traverse votre nation. Nous voulons plus que jamais vous affirmer que nous sommes à vos côtés et que nous ne relâchons pas.

Ne pensez pas qu’Israël et le peuple Juif sont sans amis, rejetés de tous, nous sommes avec vous. C’est votre D.ieu, vos prophètes qui vous encouragent, qui vous parlent, pas nous. Vous devez revenir à l'étude des promesses qui vous appartiennent.

Le seul mouvement de croyants libres luttant, Bible en main, depuis un siècle, reconnaît en plus des promesses divines sans équivoque qui vous appartiennent, le droit moral dont parlait madame Gol­da Méir sur cette terre regagnée au prix du sang de sa jeunesse, des larmes et de la douleur que les années ne peuvent effacer.

Votre peuple aura encore des épreuves mais avec le retour à son D.ieu il accomplira la tâche qui lui est destinée. Grâce à la connaissance de la Torah, vous aiderez l'humanité à se relever de la déchéance morale où elle s'enfonce constamment.

C'est là le message que nous désirons exprimer. Nous continuerons à combattre pacifiquement par des écrits, des correspondances, des articles etc. Par là-même en vous servant, nous servons D.ieu à qui, seul, soient gloire et honneur.

Courage... « Israël vivra éternellement »

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L'ESPOIR D'ISRAËL RÉVÉLÉ

En regardant l'Israël d'autrefois et sa naissance en tant que nation en 1948, comment quelqu'un pourrait-il comprendre le Juif d'aujourd'hui ? Menacé militairement et par le boycott économique de l'extérieur, largement surpassé en nombre par des ennemis jurés et avec ses alliés incertains dans leur soutien, déchiré par des factions internes, politiques, religieuses et ethniques, avec son économie intérieure dans une spirale inflationniste tourbillonnante — pourtant les élus de D.ieu sont là pour rester.

Seuls ceux qui sont éclairés par la parole prophétique pourraient se représenter Israël dans sa condition actuelle et dans sa future position de prééminence parmi les nations de la terre. Cette prévision a été exposée, pour la première fois, par le Pasteur Russell dans ses écrits antérieurs à 1904, et elle incluait l'espérance finale de l'humanité tout entière. Cette grande espérance pour Israël est illustrée par le mot — Sionisme — (Mich. 4 : 2, 3 ; Ps. 48 : 2).

« et beaucoup de nations iront, et diront : Venez, et montons à la montagne de l’Éternel, et à la maison du D.ieu de Jacob, et il nous instruira de ses voies, et nous marcherons dans ses sentiers. Car de Sion sortira la loi, et de Jérusalem, la parole de l’Éternel. Et il jugera au milieu de beaucoup de peuples, et prononcera le droit à de fortes nations jusqu’au loin ; et de leurs épées ils forgeront des socs, et de leurs lances, des serpes : une nation ne lèvera pas l’épée contre une [autre] nation, et on n’apprendra plus la guerre »

« Belle dans son élévation, la joie de toute la terre, est la montagne de Sion, aux côtés du nord, la ville du grand roi ».

Cependant, au-delà de ces nuées de trouble, il faut aussi discerner les joies, les bénédictions promises. C’est l’œil de la Foi qui discerne le temps à venir où tous les hommes, sous la direction et la supervision divines, de leurs armes de guerre forgeront des outils de bénédictions et n’apprendront plus la guerre. D.ieu a promis qu’Il établira un nouvel ordre de choses dans lequel le peuple apprendra à faire ce qui est droit.

Gloire à D.ieu pour Ses précieuses promesses ! La vénération envers Lui est le commencement de la sagesse, aussi, adorons et inclinons nous. Agenouillons-nous devant le Seigneur qui nous a faits.