Préambule
En réaction à l’émission sur
France 2 sur la Palestine du 3 octobre
2011 (Un œil sur la Planète), je peux dire, pauvre
presse française qui ne respecte plus son code de déontologie en ne
contrôlant pas la véracité des faits qu'elle rapporte, et que le
public non averti prend pour argent comptant, avec toutes ses
conséquences désastreuses.
Autant que vous, et peut-être plus, je déplore
le sang versé, les souffrances aussi bien des Arabes que des
Israéliens. Alors, de grâce, messieurs, n’attisez pas la haine
avec des déclarations et une terminologie pour le moins équivoque
chère à bien des rédacteurs.
Voyez plutôt la responsabilité des
gouvernements occidentaux, sans exception. Je suis tranquille,
l'Europe et ses entités politiques en plein déclin auront disparu
depuis longtemps alors qu'Israël sera bien vivant et prêt à
accomplir sa mission, bibliquement annoncée, d'aider le monde à se
relever.
* *
*
Bien
que la raison superficielle du conflit actuel, soit une profonde
rancœur ressentie contre Israël, à cause de l'occupation par cet
état du territoire palestinien (ce que nous qualifions de
réinstallation par les Juifs de la terre d’Israël), il y
a des raisons plus profondes, plus anciennes. Une grande partie de
cette mésentente a comme racine, un principe de haine envers Israël
: la nation et son peuple. Ce n'est pas un secret que, dans beaucoup
de capitales arabes, la présence de l'état juif est une offense.
On peut
trouver les racines de cette animosité dans les temps bibliques et
l'hostilité filiale entre deux branches distinctes de la famille
d'Abraham : Isaac et Ismaël. Quoique le conflit actuel soit
essentiellement entre des combattants palestiniens et l'Etat
d'Israël, il est trop simple de le considérer uniquement en ces
termes. Pas plus qu'il n'est seulement qu'une bataille entre
Musulmans et Juifs, car il y a des chrétiens palestiniens qui
joignent leurs forces contre ce qu'ils considèrent comme une force
d'occupation. De plus, il y a des nations dont l'aversion pour
Israël provient de différentes raisons culturelles, et dont
l'héritage est chrétien.
Aujourd’hui les nations dites chrétiennes, ne manquent pas
d’imagination, pour mettre en application cette haine que l’on peut
qualifier d’antisionisme, à travers les médias et dans les votes
comme par exemple à l’UNESCO. Les chaines publiques françaises se
permettent, comme l’a déclaré Monsieur Richard Prasquier président
du CRIF: « de faire un travail de militant et non pas de
journaliste ». Ceux qui aiment Israël, souffrent et ne comprennent
pas ces — « deux poids deux mesures ».
Aussi
complexes que puissent être les raisons de la condition du peuple
palestinien, elle convient apparemment aux pays arabes et chrétiens
qui l'utilisent comme un blâme public contre Israël. Cependant, dans
les efforts de paix entre Israël et les Arabes palestiniens, les
deux parties sont exhortées à faire des compromis douloureux et,
alors qu'il n'y a pas le moindre signe de concessions de la part des
derniers, ils refusent le dialogue pour ne pas avoir à reconnaître
la judaïcité du peuple juif.
Nous
croyons que la plupart des Palestiniens vivraient volontiers côte à
côte avec Israël en paix. Mais il y en a beaucoup qui haïssent
Israël pour le principe, qui le dédaignent comme « entité Sioniste »
et qui sont fondamentalement et hystériquement opposés à l'existence
d'un état juif et qu'ils n'accepteront jamais la paix.
« JE NE
RECONNAITRAIS JAMAIS LE CARACTERE JUIF D'ISRAËL »
(TV
Egyptienne)
Le
président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas a déclaré le 23
octobre 2011 à la télévision égyptienne Dream2TV qu'il ne
reconnaîtra jamais « le caractère juif d'Israël ou un Etat juif ».
Cette déclaration qui était passée inaperçue a été révélée par le
site internet du Middle East Media Research Institute. Source
Guysen
Près
d’un demi siècle auparavant, Ahmad Choukairy avocat diplomate
palestinien, très proche de
Gamal Abdel Nasser, rédige la
charte de l’OLP en 1963, elle sera
adoptée, le 2
juin 1964 à Jérusalem. La première doctrine
est : « les négociations avec Israël n’existeront jamais » c’est
donc le refus du partage - Voir
cette vidéo
C’est
pourquoi, quoique fasse Israël, il restera impopulaire et menacé de
destruction par ses voisins.
L'histoire du peuple juif ne présage rien de bon pour l'avenir sans
le secours de la Providence divine.
Les
royaumes antérieurs et les divers pouvoirs supérieurs dans la
société, sont abaissés à un niveau démocratique à mesure que leurs
faiblesses inhérentes sont dévoilées et leurs prétentions à la
supériorité écrasées. De toutes parts, nous voyons l'investigation
générale révéler les sources secrètes de l'intrigue politique, des
tactiques financières clandestines, et de l'hypocrisie religieuse. À
mesure que la détresse s'accroît qu’elle doit être la part d'Israël
dans l'ordre de choses ?
Par
Esaïe, nous avons la parole sûre de la prophétie :
« Et
il arrivera, dans le dernier des jours,
que la montagne de la maison de l’Éternel sera établie sur le sommet
des montagnes, et sera élevée au-dessus des collines ; et toutes les
nations y afflueront ;
3
et
beaucoup de peuples iront, et diront : Venez, et montons à la
montagne de l’Éternel, à la maison du Dieu de Jacob, et il nous
instruira de ses voies, et nous marcherons dans ses sentiers. Car de
Sion sortira la loi, et de Jérusalem, la parole de l’Éternel.
4
Et il
jugera au milieu des nations, et prononcera le droit à beaucoup de
peuples ; et de leurs épées ils forgeront des socs, et de leurs
lances, des serpes : une nation ne lèvera pas l’épée contre une
[autre] nation, et on n’apprendra plus la guerre. 5
Venez, maison de Jacob, et marchons dans la lumière de l’Éternel ! ». La franchise de ce passage ne nous laisse aucun doute qu'il doit
être pris littéralement.
Quoiqu’en pensent les nations et les grands de ce monde, quoiqu’en
pensent les palestiniens et tous leurs soutiens, Israël a été
rétabli et est devenu de nouveau une nation indépendante. Nous
croyons que le temps depuis longtemps promis de la véritable
élévation d'Israël, comme canal de bénédiction messianique pour
l'humanité, n'est pas si éloigné que cela.
Gilbert Hermetz
Rédaction : Jacques Obojtek
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