Préambule
Cet
article rappelle à tous (Juifs et Gentils) l’appartenance réelle de
la terre d’Israël. Il souligne également l’amalgame volontaire ou
non, des termes « Juif, Juda, Israël ». Il est courant aujourd’hui
de rebaptiser certaines appellations, de falsifier ou d’ignorer
l’histoire, ou de l’écrire à nouveau, afin de plonger le néophyte
dans une position toute acquise. Certains rappels nous seront
bénéfiques dans cette époque de trouble, où les esprits ne savent
plus faire la différence entre la vérité et l’erreur.
Il
est utile de revoir également les articles ci-dessous :
Le
peuple d’Israël fut choisi
La
terre d’Israël lui appartient de droit historique, politique,
religieux — acheté également à prix de sang et d’argent
Le
terme Palestine n'est pas biblique
Jérusalem Capitale Éternelle d’ISRAËL
Etc.
etc. ces articles et bien d’autres sont sur notre site sous la
rubrique « Bulletin d’information ».
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JUIFS ET ISRAÉLITES, DES TERMES SYNONYMES
Après la division des douze tribus d'Israël,
les rois des dix tribus furent appelés rois d'Israël.
ROIS
d'ISRAEL
Jéroboam. 22. ans (1 Rois 14 : 20) — Nadab 2 ans (1 Rois 15 : 25) —
Baësha 24 ans (1 Rois 15 : 33) — Ela 2 ans (1 Rois 16 : 8) — Zimri 7
jours (1 Rois 16 : 15) — Omri 12 ans (1 Rois 16 : 23) — Achab 22 ans
(1 Rois 16 : 29) — Achazia 2 ans (1 Rois 22 : 51) — Joram 12 ans (2
Rois 3 : 1) — Jéhu 28 ans (2 Rois 10 : 36) — Joakhaz 17 ans (2 Rois
13 : 1) — Joas 16 ans (2 Rois 13 : 10) — Jéroboam 41 ans (2 Rois
14 : 23) — Zacharie 1/2 année (2 Rois 15 : 8) — Shallum 1/12 année
(2 Rois 15 : 13) — Menahem 10 ans (2 Rois 15 : 17) — Pekakhia 2 ans
(2 Rois 15 : 23) — Pekakh 20 ans (2 Rois 15 : 27) — Osée 9 ans (2
Rois 17 : 1).
Et
les descendants de David qui gouvernaient Juda et Benjamin étaient
ordinairement appelés des rois de Juda.
ROIS
de JUDA
Roboam 17 ans (2 Chron. 12 : 13) — Abija 3 ans (2 Chron. 13 : 2) —
Asa 41 ans (2 Chron. 16 : 13) — Josaphat 25 ans (2 Chron. 20 : 31) —
Joram 8 ans (2 Chron. 21 : 20) — Achazia 1 an (2 Chron. 22 : 2) —
Athalie 7 ans (2 Chron. 22 : 12 ; 13 : 1) — Joas 40 ans (2 Chron. 24
: 1) — Amatsia 29 ans (2 Chron. 25 : 1) — Ozias 52 ans (2 Chron. 26
: 3) — Jotham 16 ans (2 Chron. 27 : 1) — Achaz 16 ans (2 Chron. 28 :
1) — Ezéchias 29 ans (2 Chron. 29 : 1) — Manassé 55 ans (2 Chron.
33 : 1) — Amon 2 ans (2 Chron. 33 : 21) — Josias 31 ans (2 Chron.
34 : 1) — Joakhaz 1/4 d'année (2 Chron. 36 : 1) — Jéhoïakim 11 ans
(2 Chron. 36 : 5) — Jéhoïakin + d'1/4 d'année (2 Chron. 36 : 9) —
Sédécias 11 ans (2 Chron. 36 : 11).
Le nom juif fut formé de Juda et indiquait
un sujet du royaume de Juda. Ainsi pour un temps les descendants de
Jacob furent appelés soit des Israélites, soit des Juifs, d'après
leur rapport tribal avec l'un ou l'autre royaume.
L'application du nom Israël à la nation entière
ne fut jamais complètement perdue. On voit ceci, par exemple, en Jér.
31 : 27-33, cette prophétie fut faite lorsque les dix tribus,
appelées Israël, furent séparées des deux, appelées Juda, les deux
royaumes sont mentionnés par leurs noms (v. 31) ; et après les avoir
ainsi joints comme un, la prophétie fait allusion à toutes les douze
tribus par le seul nom Israël (vs. 33, 36).
Que les Juifs soient inclus en Israël est confirmé par
les vs. 38-40 de Jér. 31, qui décrivent les lieux dans la portion
des deux tribus, à l'intérieur de Jérusalem et autour de Jérusalem.
Le terme «
Juif »
(traduit de Yéhudim ; de la tribu de Juda, c'est-à-dire des
Judaïtes) apparaît pour la première fois en 2 Rois 16 : 6, qui
décrit comment ils furent amenés d'Elath durant le règne d'Achaz.
Les gens du royaume méridional sont encore appelés Juifs
durant le règne d'Ezéchias, successeur d'Achaz (2 Rois 18 : 26). On
voit d'après Esther 3 : 6, 10 ; 9 : 1-3 et Daniel 3 : 8 que le terme
Juif fut appliqué à tous les Hébreux durant la captivité.
UN CHANGEMENT SE PRODUIT APRES LA CAPTIVITE
Il apparaît clairement d'après Esd.
4 : 12 ; 5 : 1, 5 ; Néh. 1 : 2 ; 2 : 16, que ce terme fut également
appliqué après la captivité. La Concordance de Young définit un Juif
comme « un descendant de Juda ;
dans les temps ultérieurs, également un Israélite
», et déclare : «
en 2 Rois 16 : 6 cette appellation est
appliquée aux deux tribus ; dans des jours ultérieurs aux
douze tribus ».
Les 10 tribus, et plus tard les deux tribus, allèrent en
captivité à
Babylone. Après la captivité, les représentants de
toutes les douze, particulièrement ceux de la tribu de Juda,
retournèrent dans le pays d'Israël. À partir de ce moment-là, toutes
les 12 tribus furent représentées dans le pays, et les 10 tribus et
les deux ne furent plus considérées comme deux royaumes distincts.
Le reste des 12 tribus était appelé soit Juifs, soit peuple d'Israël
les termes étant interchangeables.
Nous comprenons pourquoi la judaïcité du peuple juif est
de plus en plus contestée. Nous avons la certitude que nous vivons
une époque d'importance capitale dans le déroulement du Plan de Dieu
et notre conviction est, que nous devons consoler Son peuple, Israël
(Esaïe 40 : 1, 2).
Cependant, nous devons d'ores et déjà dire combien notre
travail en France et dans d'autres pays est apprécié par le peuple
israélien, conscient des exagérations, allant presque jusqu'au
mensonge, d'une grande partie de la presse internationale, écrite ou
parlée. Nos amis ne revendiquent pas la perfection, ni l'absence
d'erreurs, inhérentes à notre race déchue ; mais ils souffrent de
cette déformation des faits venant de la part des nations qui
existent comme entités politiques depuis des siècles ; ces nations
prétendent régler, en s'y ingérant et souvent en les compliquant,
les affaires d'un pays constamment menacé, alors qu'elles s'avèrent
incapables de gérer les leurs. Aussi notre action est-elle comparée
à une bouffée d'air pur !
COMMENTAIRE DU RÉDACTEUR
Nous comprenons les enfants d'Ismaël et d'Ésaü qui
prétendent que puisqu'ils jouissent des privilèges de ce pays depuis
tant de siècles, il leur appartient de droit ; mais ils devraient se
rendre compte qu'ils ont simplement au mieux « des droits de
squatters » et que cela ne leur donne pas le droit légitime au pays.
Ils feraient bien de se retirer du pays que Dieu a donné à Israël,
d'occuper et de développer les pays que Dieu leur a réservés.
Le peuple arabe n'a réellement rien à craindre de
l'accomplissement de la promesse faite par Dieu à Israël, promesse
qui s'accomplira finalement, qu'il y collabore ou qu'il s'y oppose.
Le règne de justice qui vient, dans lequel le pays d'Israël sera le
centre, apportera des bénédictions et le bonheur aux Arabes aussi
bien qu'au Juif et au Gentil et les fils d'Ismaël et d'Ésaü
trouveront qu'après tout, les voies de Dieu, bien que mystérieuses
et souvent difficiles à comprendre, sont à la fin les meilleures.
Gilbert Hermetz
Rédaction : Jacques Obojtek
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