NewsLetter n° 061245 - août 2012 - S'inscrire

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NAPOLÉON L’HOMME DU DESTIN

Préambule

Chers amis, voici la suite et la fin de l'article « NAPOLÉON L’HOMME DU DESTIN  ». Ce sujet a suscité beaucoup de réactions, de questions, de commentaires etc., Des questions nous ont été posées concernant le rapport entre Daniel et Napoléon - Voici notre réponse - Nous publions également, l'article qui nous a été fourni par le « Journal l’Arche » pour la Commission d’Israël « Bonaparte au Moyen-Orient », de Renée Neher-Bernheim, publié en novembre-décembre 1969 – p. 58 à 65 du n° 153 de l'Arche - cliquez ici

Nous vous souhaitons une bonne lecture, n'hésitez pas à nous faire part de vos remarques, ou suggestions. Merci à tous de votre fidélité - CHAVOUA TOV.

Jacques Obojtek

Deuxième partie

L'un des poètes et philosophes juifs les plus respectés était Christophe Martin Wieland. Napoléon organisa une rencontre avec lui quand il était en Allemagne. Le Consul autrichien à Paris, Metternich-Winneburg, envoya une lettre au Comte Standion, le ministre des affaires étrangères d'Autriche, en septembre 1806, déclarant « Tous les Juifs regardent Napoléon comme leur Messie ».

Napoléon fut le seul chef de gouvernement qui donna l'égalité aux Juifs alors que la plupart des nations les gardaient dans la servitude. Il abolit également les impôts spéciaux sur les Juifs en Allemagne et leur donna, pour la toute première fois, l'égalité civique et politique. Lorsqu'une forte opposition se déclara en France, Napoléon maintint fermement son soutien de l'égalité juive. Lorsque Napoléon arriva au pouvoir, il ne libéra pas les Juifs pour des raisons politiques, parce qu'ils n'étaient pas plus de 40 000 dans toute la France et vivaient dans diverses provinces. C'est en Alsace que les Juifs étaient le plus persécutés et que vivait la moitié de la population juive de France. À Paris, il y avait à peu près 1 000 Juifs. Ils n'étaient pas admis à faire des affaires, ils étaient exclus des positions gouvernementales et interdits d'achats de propriétés. Le principal dirigeant de la nouvelle loi datée du 8 avril 1802, qui s'occupait de l'organisation des différentes religions était Jean-Étienne Portalis, le Ministre de la Religion. Il disait : « les Juifs devraient participer sur le même plan, comme toutes les autres religions, comme nos lois l'autorisent...». Même s'il y eut une énorme opposition venant des antisémites, l'un des citoyens juifs dirigeants, Isaac Cerf-Beer, présenta au ministre Portalis un projet précis qui assurerait l'intégration juive dans la population. Ce projet fut apporté à Napoléon à son camp de Boulogne en 1805. Il l'approuva et chargea Portalis de le mettre en œuvre aussi vite que possible. En ce qui concerne les Juifs, on ne peut guère douter que les lois de Napoléon réglant la vie des communautés franco-juives furent à un tournant décisif de leur développement dans la société moderne libre. Cerf-Beer a contribué à garantir l'abolition de la capitation, qui était exigée de chaque juif souhaitant passer une journée à Strasbourg. Ce fut en 1806, après la campagne d'Austerlitz que Napoléon soutint, d'une manière agressive, l'idée d'une totale liberté pour les Juifs. Malgré cela, le journal français, Le Mercure de France, publia un article violemment antisémite, déclarant que les Juifs pouvaient avoir la liberté en France, à condition qu'ils se convertissent tous et deviennent catholiques. Une grande opposition au projet de Napoléon, de faire des Juifs vivant en France des citoyens égaux, fut menée par Molé, Beugnot, Ségur et Régnier. On cita une déclaration de Napoléon disant : « Ceci n'est pas le moyen de résoudre la question juive. Jamais je n'accepterai de propositions qui obligeraient les personnes juives à quitter la France, parce que, pour moi, les Juifs sont égaux, les mêmes que tous les autres citoyens dans notre pays. C'est faire preuve de faiblesse que de les chasser de notre pays, mais c'est faire preuve de force de les assimiler ».

Le Grand Sanhédrin était l'Assemblée suprême de la nation juive, et il n'avait pas été réuni depuis 18 siècles. Napoléon eut l'idée de rassembler les principaux notables juifs de toute l'Europe, de manière à leur donner la possibilité de résoudre les problèmes qui les concernaient. Convoqué par le décret du 23 août 1806, le grand Sanhédrin se réunit du 9 février au 9 mars 1807. Lors de sa dernière réunion, Napoléon fut proclamé « Cyrus » moderne. Napoléon s'attira des éloges chaleureux et unanimes.

Le décret publié le 30 mai 1806 demandait qu'une assemblée spéciale de dirigeants juifs et de rabbins, de tous les départements français, se réunisse à Paris pour discuter de toutes les affaires en suspens, y compris les sujets posant question ayant trait aux accusations contre les Juifs, faites par les antisémites. Ce fut le 23 juillet 1806 quand tous les délégués se rencontrèrent à Paris que Napoléon déclara alors : « Mon désir est de faire des Juifs des citoyens égaux en France, d'avoir une conciliation entre leur religion et leurs responsabilités en devenant Français, et de répondre à toutes les accusations portées contre eux. Je veux que toutes les personnes vivant en France soient des citoyens égaux et qu'elles profitent de nos lois ». Cent onze délégués de la communauté juive, représentant tous les départements de France et du nord de l'Italie, se rencontrèrent à l'Hôtel de ville. Napoléon avait demandé des réponses aux accusations faites contre les Juifs, pour qu'il puisse ainsi clairement comprendre leur position. La réunion d'un si grand nombre de Juifs venant de diverses parties de la France représentait le renouveau du célèbre « Sanhédrin », qui gouvernait Israël avant Jésus-Christ.

LES MONARQUES DU MONDE S'OPPOSENT
À L'AFFRANCHISSEMENT DES JUIFS

Le Sanhédrin continua à être une force importante en Israël jusqu'en l'an 70 après J.C. lorsque Titus, le général Romain, détruisit Jérusalem. Le Sanhédrin remplaçait la monarchie en Israël à cette époque-là, et c'était l'autorité de ses membres qui administrait le pays. Ils interprétaient la loi, et siégeaient en tant que juges dans la plupart des cas. C'était la première fois, depuis que le Sanhédrin avait été congédié en Israël, qu'il était à nouveau convoqué par le grand libérateur « Napoléon ». La réunion du Sanhédrin amena une comparaison historique entre Napoléon et les héros d'autrefois, dont l'un fut « Cyrus le grand ». Cyrus, le roi de Perse, fut l'initiateur du premier rétablissement d'Israël. Le tsar Alexandre de Russie protesta violemment contre l'affranchissement des Juifs et encouragea l'église orthodoxe de Moscou à protester d'une manière agressive. Il appela Napoléon « l'Antéchrist et l'ennemi de Dieu » parce qu'il libérait les Juifs. L'Autriche protesta également. En Prusse, l'église luthérienne fut extrêmement hostile aux décisions de Napoléon, et la réaction en Italie fut défavorable aussi, mais pas agressive. Une attaque des plus venimeuses envers le Sanhédrin vint du « Saint Synode » de Moscou, qui lança un manifeste public contre le Sanhédrin. Cette proclamation, datée de décembre 1806, déclarait : « En vue de provoquer une dégradation de l'église, il (Napoléon) a convoqué à Paris la Synagogue juive, restauré la dignité des rabbins et fondé un nouveau Sanhédrin ». Napoléon s'inquiéta de ces protestations qui étaient émises aussi par quelques personnalités marquantes en France. En conséquence, en 1806, après la campagne de Prusse et peu après la victoire d'Iéna, il fit un discours dans la ville de Poznan le 29 novembre 1806, dans lequel il donna les résultats des délibérations du Sanhédrin, des résultats qui le satisfaisaient beaucoup. Le Sanhédrin fut de nouveau convoqué le 31 janvier 1807, pour deux mois, en vue de finaliser la loi qui rendrait la religion juive égale aux autres. Le décret particulier de 1806 libérait les Juifs de leur isolement. Le judaïsme devint la troisième religion officielle de France, et le procédé, que Napoléon mit en place pour que les rabbins servent la nation, est toujours en pratique de nos jours, servant de base à la relation du gouvernement avec la population juive. L'oncle de Napoléon, le cardinal Fesh, s'engagea aussi. Il a dit à Napoléon : « Sire, ainsi vous souhaitez que la fin du monde arrive avec vos lois qui donnent aux Juifs l'égalité avec les catholiques. Ne savez-vous pas que les Saintes Écritures prédisent que la fin du monde arrivera lorsque les Juifs seront reconnus comme une nation constituée ? » Même le maréchal Kellermann, soutenu par Molé, mobilisa une opposition aux lois de Napoléon concernant les Juifs, et recommanda fortement qu'il soit interdit aux Juifs de faire du commerce. L'Empereur répondit formellement et vigoureusement : « Nous devons l'emporter en encourageant les Juifs qui ne sont qu'une toute petite minorité parmi nous. Dans les départements de l'est, nous trouvons un grand nombre de Juifs qui sont très honnêtes et très travailleurs ». À cause de la quantité énorme de critiques que Napoléon reçut de personnalités aussi célèbres que Chateaubriand, le cardinal Fesch, le maréchal Kellermann, le Tsar Alexandre et beaucoup d'autres, il se sentit obligé d'établir « un décret restrictif ». Le 17 mars 1808, ce décret limitait la liberté donnée aux Juifs. Son but était de réduire la critique à un niveau gérable, et ensuite, petit à petit, avec le temps, lever les restrictions une à une. Le 11 avril 1808, Napoléon reçut en audience spéciale messieurs Furtado et Maurice Levy de Nancy, qui voulaient exprimer

L'Empereur Napoléon

l'émotion de leurs coreligionnaires à propos du décret restrictif. Après les avoir écoutés, il ordonna immédiatement à 13 départements, comprenant ceux du Midi, du Sud-Ouest et les Vosges, de supprimer le décret. En juin de la même année, Livourne et les Basses-Pyrénées reçurent le même ordre de lever le « décret restrictif ». En conséquence, en trois mois d'existence de ce décret restrictif, plus de la moitié des départements impliqués purent rétablir la liberté étendue à leurs concitoyens juifs. La dernière région à tenir bon fut l'Alsace. Cette province supprima en fin de compte les restrictions. En conséquence, en 1811, toutes les restrictions furent levées, et rien dans les activités civiles ou politiques ne pouvait distinguer un Juif d'un non-Juif en France. 

OPPOSITION À LA RÉFORME

Voici une anecdote authentique qui démontre le degré de sympathie de Napoléon envers ses grognards (vieux soldats). Un jeune membre de l'Armée servait avec une bravoure exceptionnelle. Il venait d'Alsace. L’Empereur décida de lui remettre une médaille devant ses troupes. L’Empereur dit : « David Bloom, tu es un brave soldat. Ta place dans la Vieille Garde est inévitable ». Alors il enleva sa propre médaille d'argent qu'il portait fièrement et l'épingla sur l'uniforme de David Bloom. David Bloom répondit, en disant : « Sire, je viens d'Alsace et il me semble difficile d'accepter cette décoration aussi longtemps que ma famille est déshonorée par les lois françaises qui limitent leur égalité et leur liberté ». Napoléon fut visiblement troublé et on raconte qu'il a dit : « Ils m'ont encore menti, et je vais corriger immédiatement ces restrictions injustes ». Grâce à l'étroite collaboration entre les fonctionnaires de l'administration, les rabbins et les dirigeants locaux, les Juifs purent quitter les ghettos où ils étaient confinés et participer librement à la vie de la France. Les Juifs purent s'inscrire dans les universités, participer à n'importe quel corps de profession et purent travailler dans différents bureaux du gouvernement. Rien ne leur fut plus interdit. L’Almanach Impérial de 1811 déclarait que la religion juive était maintenant l'une des trois religions acceptées par le gouvernement français. Les efforts de Napoléon pour libérer les Juifs furent efficaces, non seulement en France, mais dans tous les autres pays où la France gouvernait. Le nouveau Code Civil que créa Napoléon, assurait la liberté, la fraternité et l'égalité à toutes les personnes indépendamment de leur religion ou de leur situation sociale. En 1811, grâce aux efforts de Napoléon, le Portugal accorda une liberté totale aux Juifs et leur permit d'ouvrir leurs synagogues qui étaient fermées depuis plus de 200 ans. La période napoléonienne apporta aux Juifs de France, des Pays Bas, d'Allemagne de l'ouest et d'Italie les premiers traits de modernité. Elle apporta l'égalité devant la loi, une fin de l'imposition tyrannique des restrictions de résidence imposée, et l'occasion de participer, en tant qu'hommes libres, à la vie publique et politique. Dans les régions d'Espagne, que l'autorité française n'avait pas atteintes, l'Inquisition continuait à agir. Les souverains de l'ère post-napoléonienne eurent la faiblesse de ne rien apprendre et de ne rien oublier.

Bible Standard N° 866 — septembre-octobre 2011

Troisième partie

La Bataille de Waterloo

WATERLOO MODIFIE LES CONDITIONS PRÉDOMINANTES

Après la défaite de Napoléon à Waterloo, la Sainte Alliance se réunit au Congrès de Vienne. À cette époque, les lois permettant l'égalité, la liberté et la fraternité furent retirées et ne furent plus appliquées jusqu'en 1830, lorsque les principes fixés par la Révolution française et le Premier Empire furent rétablis. La Prusse revint sur les lois libérales en 1815, après la bataille de Waterloo. Le pire recul fut infligé aux Juifs par les États du Pape. Ce fut presque comme si Pie VII se vengeait sur la population juive de son territoire, de l'humiliation qu'il avait subie de la part de Napoléon. Il ne se contenta pas d'emprisonner les Juifs derrière les murs d'un ghetto reconstruit, mais il les obligea à porter de nouveau « l'insigne jaune ». En Sardaigne, les Juifs furent de nouveau jetés dans des ghettos et il leur fut interdit de construire des synagogues. Beaucoup plus tard, quelques nations européennes assimilèrent les Juifs entre 1824 et 1867 ; notamment les Pays-Bas en 1830, la Suède en 1834 et la Suisse en 1838. Il faut remarquer qu'en Angleterre, ce fut seulement en 1858, après avoir été élu cinq fois, que Lord Lionel Rothschild fut autorisé à siéger au Parlement. Il est intéressant également de savoir que les lois qui furent votées en France en 1808 sont toujours en vigueur à ce jour. Une ironie amère couvre le fait historique que la défaite de Napoléon arrêta l'émancipation et plongea la jeunesse juive dans le désenchantement et le désespoir complets. La rencontre de Napoléon avec le peuple juif fut un moment décisif dans l'histoire juive. Pour la première fois, un homme d'état moderne avait envisagé le problème juif comme une question essentielle de la politique internationale. Napoléon fit plus qu'aucun autre dirigeant avant lui, pour donner la sécurité et la liberté religieuse aux Juifs des nations qu'il avait sous son contrôle. La motivation politique comptait peu dans sa diplomatie puisqu'il n'y avait pas plus de 40 000 Juifs vivant en France à cette époque. Les Juifs de France et de l'Empire reconnurent que c'était un reflet de son humanitarisme envers les hommes et de son respect pour d'autres nationalités et religions. Ils lui étaient si reconnaissants de leur avoir accordé l'égalité et la liberté religieuse qu'ils offrirent une prière spéciale en son honneur. Cette prière fut insérée dans le livre de prières dans chaque synagogue des pays sous le contrôle de Napoléon. En conséquence, tous les Juifs qui assistaient aux prières dans ces synagogues pouvaient réciter celle-là.

ANNEXE 1

Les citoyens de France et d'Italie pour le succès et la prospérité de notre
Chef d'Armée l'Empereur, le Roi Napoléon le Grand (puisse sa gloire briller).
Composée le mois de Cheshvan de l'an 5567 (1807)

Psaumes chapitres 20, 21, 27, 147

« Je T'implore, Créateur des cieux et de l'Univers et de tout ceux qui y habitent. Tu as établi toutes les frontières et les limites du monde et chaque nation, avec sa langue respective. Tu as donné le Sceptre du pouvoir aux mains de leurs rois pour conduire leur peuple sous leur règne avec droiture, justice et intégrité ; pour que chaque personne en son propre lieu puisse vivre en paix. Quelle chance nous avons, combien est bon notre lot de ce que par Ta main, la gloire et la beauté ont été déversées sur la tête d'un homme puissant, énergique, Napoléon le Grand, pour qu'il s'assoie sur le Trône de France et d'Italie. Pouvait-on trouver une autre personne aussi digne de mériter ces honneurs et cette royauté, qui guide son peuple avec sincérité et avec l'intelligence du cœur ? Toi, DIEU, Tu l'as merveilleusement gratifié de Ta bonté. Quand les autres rois du monde s'approchaient pour le combattre, Tu l'as protégé au jour de la bataille, Tu l'as sauvé de ceux qui se dressaient contre lui, jusqu'à ce qu'ils soient vaincus et qu'ils recherchent la paix avec lui. Avec son esprit de douceur, il prononça pour eux des paroles de paix. Les rois se sont maintenant unis pour rompre leur traité et remplacer la paix par le sang de la guerre. Ils ont rassemblé leurs armées pour le combattre lui et tous ceux qui l'admirent. Ils sont arrivés à nos frontières, et notre maître, l'Empereur, le Roi, est présent pour les affronter avec la puissance de son armée. O DIEU, Maître de grandeur, de force, de puissance et de beauté, nous T'implorons de demeurer près de sa droiture ; aide-le, soutiens-le de Ton bras puissant ; protège-le comme la prunelle de Tes yeux avec une abondance de force et de santé. Sauve-le de tout mal et dis-lui : « Je suis ton salut ». Envoie Ta lumière et Ta vérité pour qu'elles puissent le guider. Rends insensés tous ceux qui s'élèvent contre lui pour faire le mal. Que Ta lumière brille sur ses projets. Fortifie ses armées et celles de ses alliés. Puisse-t-il réussir dans toutes ses tentatives et régner sur ses ennemis. Puissent-ils rechercher la paix avec lui, car il est un homme qui aime la paix, et la paix, il l'exercera sur cette nation. Père de compassion, Maître de la Paix, inspire dans la tête de tous les rois et de leurs conseillers, des pensées de paix et de sérénité pour le profit de toute l'humanité. Que l'épée ne traverse pas notre pays et ne répande pas le sang de nos frères. Que toutes les nations s'unissent dans une paix et une sérénité totales pour toujours. Amen. Que les paroles de nos prières puissent T'être agréables ».

 

ANNEXE 2

Lettre à la Nation Juive de la part du Commandant en Chef français Bonaparte (traduite de l'original de 1799) Quartier général, Jérusalem 1er  Floréal, 20 avril, 1799, en l'an 7 de la République Française. Voir le bulletin n° 25 déjà paru 

BIBLIOGRAPHIE :

Anchel, Napoléon et les Juifs 1928.

Roth, C. The Jews of Malta in : Transactions of the Jewish Historical Society of England, XII (1931).

The Jewish Press Magazine, April 1998, page 69.

The Memoirs of Dr. Barry O'Meara.

The New Judea, vol. 16, September 1949.

Schwarzfuchs, Simon. Napoléon, the Jews of the Sanhedrin.

The Memoirs of Baron Fain, First Secretary of the Emperor Cabinet, Proctor Jones Publishing, 1998.

Kobler, Frans. Napoleon and the Jews (1975). Yahuda, A.S. Conception d'un état juif par Napoléon, Evidences publication, 1951, no 19, May-June.

(Études dans les Écritures Vol. 3, pp. 40 : 1-47 : 2 ; en fr. Vol. 3, pp. 26 à 35 haut).

Bible Standard N° 867 — novembre-décembre 2011.

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Gilbert Hermetz

Rédaction : Jacques Obojtek

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