ÉDITÉ PAR LA COMMISSION D'ISRAËL
*
* *
Au nom
de la Commission d'Israël, je remercie tous les lecteurs, pour vos
courriers, vos encouragements à continuer ce témoignage de soutien
envers Israël très apprécié. La loyauté de notre action et surtout
la persévérance (plus de 45 ans) avec laquelle nous la poursuivons
en dépit des difficultés, ont beaucoup touché les personnes que nous
avons contactées au sein de ce peuple qui doit demeurer « le peuple
choisi ».
Personnellement, en laissant dans les mains de L'ETERNEL les
résultats d'un travail qu'Il nous a donné le privilège de faire, je
Le remercie profondément pour les joies qu'Il m'a procurées au cours
de celui-ci. Notre soutien a pris une nouvelle forme et peut-être
une nouvelle dimension avec nos newsletters, avec de plus en plus
d’inscriptions. Tout ceci est entre les mains du Tout-Puissant ! A
Lui soient la Gloire et l'Honneur.
Jacques Obojtek
pour la Commission
d'Israël
redaction@israelvivra.com
*
* *
YOM KIPPOUR
L'ANNEE DU JUBILE
«
Et tu compteras sept sabbats
d'années, sept fois sept ans : et les jours de ces sept sabbats d'années
te feront quarante neuf ans. Et, au septième mois, le dixième jour du
mois, tu feras passer le son bruyant de la corne
[Shofar - ou corne de bélier] : le jour
d'expiation, vous ferez passer la corne par tout votre pays : et vous
sanctifierez l'année de l'an cinquantième, et vous proclamerez la
liberté dans le pays à tous ses habitants : ce sera pour
vous un jubilé : vous retournerez chacun dans sa possession, et
vous retournerez chacun à sa famille
», (Lév 25 : 8 - 10 — Traduction de la Société Juive de
Publication et que nous adopterons dans cet article).
D’après
ce texte, nous voyons que, à la fin de la 49ème année du
cycle des Jubilés, le Jour de Réconciliation, avaient lieu la sonnerie
du shofar la trompette du Jubilé — et la proclamation de la liberté dans
tout Israël. Pendant ce jour, le Souverain Sacrificateur d'Israël
offrait des sacrifices pour le péché.
Pendant que le peuple d'Israël attendait sa bénédiction : «
Au septième mois, le dixième jour du mois,
vous affligerez vos âmes » (Lév. 16 : 11 -
16, 29). Il est certain que la sonnerie du shofar, la proclamation de la
liberté et les cris de joie n'avaient pas lieu au moment de la
réconciliation pour le péché et du découragement de l'âme, mais devaient
se produire après cela, dans la dernière partie du Jour de
Réconciliation.
Quel cri
de joie il devait y avoir quand le peuple d'Israël entendait le shofar
retentir, proclamant leur liberté ! Bientôt, toutes les dettes seraient
résiliées, les serviteurs diraient au revoir à leurs maîtres, les portes
des prisons s'ouvriraient et les prisonniers seraient libérés, les
possessions perdues seraient rendues à ceux à qui elles avaient été
confisquées, et les réunions de famille auraient lieu dans une joie
inexprimable.
Lire
la suite de l'article
sur le site