ÉDITÉ PAR LA COMMISSION D'ISRAËL
Articles publiés sur le — TIMES OF ISRAËL
*
* *
Gaza, une juste
rétribution ?
Nous ne pouvons répondre à une telle
question, toutefois chaque croyant sait, que les mauvaises actions
ou mauvaises décisions de la vie présente recevront comme salaire,
soit maintenant, soit plus tard, une juste rétribution, selon le
degré de lumière dont a joui le transgresseur.
C'est ainsi que nous lisons en Amos 3 : 2 : « Je
vous ai connus, vous seuls, de toutes les familles de la terre ;
c’est pourquoi, je visiterai sur vous toutes vos iniquités ».
Cela ne semble-t-il pas étrange ? Que d’une part, D.ieu dit qu’Il va
bénir Son peuple Israël, et que d’autre part, Il dit : « Je
vais vous châtier, Je vais vous punir quand vous agirez mal »,
c'est de cette manière que la faveur de D.ieu se manifeste envers
Son peuple.
La terre d’Israël (y compris Gaza)
est celle que D.ieu a promise à Abraham et à sa semence, Il réitéra
plus tard cette promesse à Isaac et ensuite à Jacob, et il en fut
ainsi avec la naissance de la nation d'Israël. Israël a fait beaucoup de choses qui
plaisaient à D.ieu, mais il y eut des moments où D.ieu châtia Israël
pour sa mauvaise conduite.
GAZA APPARTIENT-IL AU PEUPLE JUIF ?
-
Le terme Palestine
n'est pas biblique
Le fait que le peuple d'Israël n’a pu
se maintenir dans la bande de Gaza, n’est en aucun sens une preuve de leur illégitimité !
Cette ville (Gaza) fut attribuée à Juda, Josué 15 : 20-63 — « C’est
ici l’héritage de la tribu des fils de Juda, selon leurs familles …
v. 47 —
Asdod, avec ses villes et ses bourgades ;
Gaza,
avec les siennes, jusqu'au torrent d'Egypte, la grande mer servant
de limite
».
D.ieu est très précis dans les écrits, Il
avait dit à Josué 1 : 2-4 — « Moïse, mon serviteur, est mort ; et maintenant, lève-toi, passe ce
Jourdain, toi et tout ce peuple,
pour entrer dans
le pays que je donne aux enfants d'Israël ...
»
Juges 1 : 18 — « Et
Juda prit Gaza et ses confins,
et Askalon et ses confins, et Ékron et ses confins
».
Josué avait eu le commandement de
D.ieu de prendre possession de tout le territoire. Il le fit, Josué
11 : 22 — « Il
ne resta point d’Anakim
[les
géants
qui ont existé après le déluge, au temps d’Abraham]
dans le
pays des fils d’Israël ; il en demeura seulement dans Gaza, dans
Gath, et dans Asdod
», le fait qu’il laissa vivre ces
quelques villes ne leur donnent aucun droit de propriété, tout au
plus des droits de squatter.
Les ennemis d’Israël le comprendront,
lorsqu’ils verront tout leur effort pour déposséder les fils
d’Israël de leur terre être réduit à néant.
L’attitude du gouvernement d’Israël,
et ceci depuis des décennies, en cédant en grande partie aux
demandes territoriales illégitimes des Arabes, n’a eu pour
résultat qu’un durcissement et un renforcement des revendications.
Mais le plus grave au fil du temps, a été l’endurcissement de leur
cœur, persuadés que certaines revendications ont eu gain de cause,
ils exigent aujourd’hui tout le territoire d’Israël.
L’endurcissement du cœur c’est déjà produit
dans le passé, rappelez-vous lorsque Moïse dit au Pharaon laisse
aller mon peuple, afin qu’il me célèbre une fête dans le désert. Le
Pharaon répondit : « Qui est
l’Éternel pour que j’écoute sa voix et que je laisse aller
Israël ? Je ne connais pas l’Éternel, et je ne laisserai pas non
plus aller Israël ».Vous connaissez la suite, il y eu « dix
plaies en Egypte ». Une seule de ses
plaies aurait suffi pour que le Pharaon laisse aller le peuple, à la
condition qu'il obtempère.
La bonté de D.ieu eut pour résultat
d'endurcir le cœur de Pharaon, le fait que les plaies s’arrêtent, a
endurci le cœur de Pharaon. Il a fallu la dixième plaie, la plus
dure, celle de la mort des premiers nés pour que Pharaon obtempère
et laisse aller le peuple d’Israël.
Le fait que Moïse refusa de faire un
compromis avec lui, eut aussi pour résultat, l'endurcissement du
cœur de Pharaon. Un cœur égoïste et entêté comme celui de Pharaon,
était justement de nature à devenir encore plus obstiné, si un
compromis à dessein égoïste arraché par le moyen de châtiments était
refusé comme ce fut le cas ici.
Dans l'impossibilité de réaliser un compromis
quelconque, Pharaon a recours aux menaces. Ce qui suit est la
traduction littérale de la menace de Pharaon et de la réponse de
Moïse : « Et Pharaon lui dit :
Pars de devant moi ; prends garde à toi ; ne fais pas en sorte
[toi-même] de revoir ma face ;
car au jour où tu reverras ma face tu mourras.
Et Moïse dit : Je ne ferai plus
en sorte [moi-même]
de revoir ta face ».
Il est à remarquer que Moïse ne dit pas qu'il ne reverrait pas
Pharaon ; car il le revit plus tard.
Ces menaces ressemblent étrangement,
aux menaces des ennemis d’Israël d’aujourd’hui, le fait de laisser
croire aux Arabes squatters de Gaza et d’ailleurs, qu’ils peuvent
espérer d’une manière ou d’une autre d’obtenir cette terre promise
au seul peuple Juif, est une des plus graves erreurs qu’Israël est
en train de commettre.
Malheureusement beaucoup des victimes
innocentes payent le prix de ces erreurs de jugement des dirigeants
d’Israël. En aucun sens cela ne remet en cause les promesses, qui
s’accompliront même si la communauté internationale n’est pas
d’accord, même si les Arabes veulent la destruction d’Israël, et
même malheureusement si Israël agit contre la volonté de l’Eternel,
gardons à l’esprit que « ce que
La bouche de l’Eternel a promis, Sa main l’accomplira ».
Le territoire de Gaza, administré par
l’Egypte jusqu’à sa capture par Israël durant la guerre du
Moyen-Orient en 1967, était abandonné par le Caire quand l’Egypte
signa son traité de paix avec Israël en 1979. Depuis lors, Gaza est
devenu le territoire oublié, non désiré par aucun état arabe, tandis
que son économie demeurait solidement contrôlée par les forces de
sécurité israéliennes.
LE PLAN DE DESENGAGEMENT DU SINAÏ ET
DE GAZA
Tristes mémoires, les souvenirs difficiles de l’évacuation du Sinaï,
en avril 1982, est dans tous les visages des ex-habitants de Yamit.
Cette implantation israélienne dans la péninsule du Sinaï était
établie après la guerre des Six Jours de 1967. Cette ville exista
jusqu’en 1982, à l’application du traité de paix israélo-égyptien et
du retrait israélien.
Bref rappel de l’expulsion des Juifs
de Gaza : à l'été 2005 le 15 août, ont été évacués 21 implantations
juives de la bande de Gaza, qui ont ensuite été rasées comme pour
effacer plus de 30 ans de présence juive sur cette terre fertile.
Quatre implantations de Judée Samarie ont également été évacuées.
L’administration du Président
américain George W. Bush a soutenu le retrait d’Israël
avec la conviction
qu’elle ferait avancer le processus de paix.
Le plan consista à démanteler les
foyers et les communautés d’environ 9 000 Israéliens qui habitaient
dans ces zones depuis trois décennies. L'architecte de cette
opération de premier plan, le premier ministre de l’époque, Ariel
Sharon, était surnommé « le père des implantations ».
Rien que dans la bande de Gaza,
Israël a démantelé 38 synagogues, fermé 42 garderies et 46 jardins
d’enfants, écoles primaires et secondaires etc. L’évacuation signifia
également la perte de 10 000 emplois créés par les Israéliens dans
le secteur agricole, dont la moitié était détenue par des Arabes.
Ils abandonnèrent également presque
400 hectares de serres.
Le premier ministre Ariel Sharon a cité la
volonté d’Israël à faire
de pénibles
sacrifices pour la paix, sa sécurité et
sa position éminente parmi la communauté internationale comme les
facteurs essentiels ayant contribué à sa décision de soutenir ce que
beaucoup considèrent comme
la plus importante
initiative israélienne pour la paix au cours des dernières décennies.
Voir la vidéo
---
témoignage sur le retrait
Quels ont été les résultats de tout ceci ? Des
familles juives déchirées, maltraitées, déplacées par leurs frères,
expulsées par leur gouvernement,
dans l’espoir d’avoir la
paix, y-a-t-il la paix ?
En 2006, l’organisation terroriste du Hamas a
pris le contrôle de la bande de Gaza après de sanglants combats avec
son rival, le Fatah. Cette organisation, ne voulait plus un seul
Juif dans cette bande de Gaza, cela s’appelle de l’ « épuration
ethnique ».
Le 4
janvier 2006, terrassé par une attaque cérébrale, l’auteur de cette
prise de décision (du désengagement de Gaza) le premier ministre de
l’état d’Israël Ariel Sharon décède le samedi 11 janvier à l’âge de
85 ans après huit ans passés dans le coma.
Quel est le résultat des compromissions « la
terre pour la paix » ?
En juin 2006 : opération « Pluies
d'été » dans Gaza, suivi en juillet
2006 : « deuxième guerre du Liban »,
en février 2008 : « Hiver chaud »
à Gaza, et puis en janvier 2009 : « Plomb
durci » dans Gaza, en novembre 2012 :
« Pilier de défense »
dans Gaza, et ensuite en juillet 2014 : « Bordure
protectrice » à Gaza.
Et depuis 2015-2018 : Terrorisme, au couteau,
à la voiture bélier, des roquettes, des manifestations « soit
disant pacifiques par les non éclairés »
et maintenant, les ennemis d’Israël brûlent les champs de céréales
en terre d’Israël.
Es. 54 : 17
—
« Aucun
instrument formé contre toi ne réussira, et toute langue qui se
lèvera contre toi en jugement, tu la condamneras. C’est là
l’héritage des serviteurs de l’Éternel, et leur justice est de par
moi, dit l’Éternel
». Israël vivra, oui, Israël vivra Eternellement
sur SA TERRE.
LE RETOUR D'ISRAEL DANS SA TERRE
Jacques Obojtek
Pour la Commission
d'Israël
*
* *
Vos questions,
suggestions ou informations sont les bienvenues
:
redaction@israelvivra.com
|