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Articles publiés sur le — TIMES OF ISRAËL
ÉDITÉ PAR LA COMMISSION D'ISRAËL
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Préambule
Vendredi 14 juillet 2017, trois Arabes Israéliens ont
assassiné par balles deux policiers israéliens dans la vieille ville
de Jérusalem, dimanche Israël décide d’installer des
portiques de sécurité aux entrées du MONT DU TEMPLE à Jérusalem, ce
qui provoque de vives contestations des autorités religieuses
musulmanes et du Waqf, des émeutes s’en sont suivies, la plupart des
musulmans refusant d’entrer par les portiques pour prier, préfèrent
s’incliner devant Tsahal.
Des portiques sont installés au Kotel
depuis de nombreuses années, sans poser de problème, des dizaines
de portiques sont installés à la Mecque sans poser de problème, même en France
certaines écoles se sont équipées de portiques du même genre, les
aéroports, certains magasins en sont équipés sans problème. Ce qui
semble être une sécurité pour tout le monde, déchaine une violente
haine chez les palestiniens, c'est donc un prétexte pour combattre
Israël.
Au moment de la rédaction de cet article,
nous apprenons que des israéliens viennent d’être massacrés au couteau
en Judée Samarie, comment faire la paix avec des voisins qui ne
pensent qu’à vous exterminer ?
Nous présentons nos
sincères condoléances aux familles endeuillées.
Y
AURA-T-IL UN ÉTAT PALESTINIEN ?
Au sein d'une pression diplomatique
importante, l'appel persiste pour l'établissement d'un état autonome
pour les Arabes de Judée et de Samarie.
Yoram
Ettinger, expert dans les relations américano-israéliennes, écrit un
article en opposition à cette idée. Il affirme que le conflit
interne entre les Shiites et les Sunnites, les Perses et les Arabes,
ou entre les nationalistes arabes et les arabes islamistes n'a rien
à voir avec Israël. Ces factions au sein de la communauté arabe sont
en cours de dislocation. Depuis des siècles, elles n'ont pas été à
même de coexister en paix entre elles, ni avec d'autres peuples, et
leur donner tout sans exception à l'intérieur des frontières
d'Israël, ajouterait à l'incertitude de la situation actuellement
provoquée par les Arabes cherchant à pénétrer de force dans le pays.
Yoram Ettinger énumère trois
conceptions erronées qui stimulent les diplomates favorables à
l'état palestinien.
1.) — « Les
concessions territoriales israéliennes sont la clé pour progresser
vers la paix ».
2.) — « La
souveraineté israélienne sur la Judée et la Samarie bloque tout
accord entre eux ». Le fait
est que la plupart des Palestiniens ne reconnaissent pas le droit au
peuple juif d'exister comme nation indépendante.
3.) — « On
ressent que des Arabes de Judée et de Samarie peuvent construire un
état qui vivra en paix à côté d'Israël ».
Le passé prouve que l'Autorité
palestinienne n'a jamais œuvré dans le but d'améliorer les
conditions de vie de ses sujets. Aujourd'hui le chômage et la
pauvreté en Palestine sont pires qu'ils ne l'étaient avant qu'Arafat
et ses associés ne prennent le pouvoir.
Yoram Ettinger dit que ceux qui
soutiennent l'établissement d'un état palestinien « doivent exiger
que les Palestiniens expliquent ce qu'ils ont fait des 7 milliards
de dollars d'aide internationale qu'ils ont reçus pendant des
années. Pourquoi les foules palestiniennes ont-elles détruit la zone
industrielle d'Erez, où des Palestiniens ont travaillé et fait des
affaires pendant des décennies, à la frontière de Gaza ? Pourquoi
attaquent-ils des routes sûres reliant leur territoire de Gaza à
leur Cisjordanie ? Pourquoi l'économie palestinienne est-elle dans
la pagaille ? »
Apparemment l'aide économique qu'ils
ont reçue a servi, non pas à améliorer leur situation économique,
mais pour des activités terroristes dirigées contre Israël.
Yoram Ettinger conclut son article
avec ce conseil pour les gouvernements occidentaux et leurs
émissaires : « Au lieu de mettre la pression sur Israël, ils doivent
essayer de persuader les dirigeants palestiniens de s'engager dans
une stratégie à long terme, fondée sur les réformes dans
l'éducation, la politique et l'économie, qui conduiraient à
l'établissement d'une société civile qui valorise la vie et non pas
la mort ; qui attache du prix aux droits de l'homme et à la liberté
; et qui développe une classe moyenne, et non pas une aristocratie
d'élite riche et corrompue ».
CONFÉRENCE POUR LA PAIX AU
PROCHE-ORIENT
Paris — 15 janvier 2017
Jean-Marc Ayrault (ex-ministre
français des Affaires étrangères) souligne l’urgence à préserver la
solution à deux états « la seule viable pour l’avenir », (affirme
t-il), est gravement menacée par la violence de la «
colonisation ».
Autour de la table il y avait l’Union
Européenne, toute la ligue Arabe, tout le G20, tout le conseil de
sécurité, en somme tous les pays les plus concernés, sauf Israël et
les « palestiniens ».
Dix ans plus tôt, soixante-dix
nations s’étaient réunies à Paris, en France, le 17/12/07.
L'objectif était de rassembler des centaines de millions de dollars
(5,6 milliards), ou plus, en faveur d'un état palestinien très
peuplé, touchant et menaçant l'État d'Israël.
Parmi les représentants
internationaux prenant part à la conférence, se trouvaient le
Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, la secrétaire
d'État américaine Condoleezza Rice, le ministre des Affaires
étrangères russe Sergei Lavrov, et le ministre des Affaires
étrangères israélien Tzipi Livni. Tony Blair, qui venait de mettre
fin à ses fonctions de Premier ministre anglais, co-présidait cet
événement.
Les organisations participantes
comprenaient la Commission Européenne, la Ligue Arabe, le Fonds
Monétaire International, la Banque Mondiale ainsi que des fonds
financiers européens et arabes. L'ensemble des 27 membres de l'Union
européenne était représenté, de même que des pays du Moyen-Orient.
Y AURA-T-IL UN ÉTAT PALESTINIEN ?
Ceci nous rappelle les paroles du
Prophète Ésaïe concernant le rassemblement des nations :
« Associez-vous, peuples, et vous serez brisés ; et prêtez
l'oreille, vous tous qui habitez au loin sur la terre !
Ceignez-vous, et vous serez brisés ! : Prenez un conseil, et il
n'aboutira à rien ; dites la parole, et elle n'aura pas d'effet :
car D.ieu est avec nous » — (És. 8 : 9, 10).
Si l'état palestinien devient une
réalité et si on lui accorde un statut permanent au sein du
territoire d'Israël, il peut faire venir comme cela est prophétisé
« le temps de Détresse pour Jacob » auquel nous nous attendons (Jér.
30 : 7).
Bien que nous entendions beaucoup
parler au sujet d’un Etat palestinien, ce ne sont pas des
Palestiniens dont le monde arabe se soucie. Les Etats arabes
entourant Israël continueront à l’attaquer jusqu’à cette
confrontation finale, quand toutes les nations seront rassemblées
contre Jérusalem Zach. 12 : 1-9 ; Ezéch. chap. 38 et 39.
Les Etats-Unis, le courtier de toutes
les choses politiques et financières, sont incapables de ranimer les
pourparlers. L’Union Européenne, le principal protecteur financier
de l’état palestinien naissant, s’est rangée dans le processus de
paix dans une tentative de voir son influence égaler celle de
Washington.
Tout comme la main d'Abraham a été
retenue de tuer son fils Isaac, ainsi les ennemis d'Israël, qu'ils
soient Arabes ou Gentils, seront contrecarrés dans leurs efforts de
destruction du peuple juif. « Aucun
instrument formé contre toi ne réussira »
écrit le prophète d'Israël, Esaïe (54 : 17).
Il n'y a pas d'attentat-suicide, pas
de missile, pas de plan de combat assez puissant pour séparer le
peuple de la terre de D.ieu, de la terre qu'Il lui a donnée. Il
reste à voir si l'état palestinien deviendra réalité, mais le D.ieu
d'Abraham, d'Isaac et de Jacob ne le permettra pas aux dépens de
l'existence d'Israël.
Lire l'article complet
Jacques Obojtek
Pour la Commission
d'Israël